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Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? Dans ce récit autobiographique, Heinrich Böll évoque avec humour et sobriété ses quatre dernières années d'école. On comprend mieux la question que son entourage ne cesse de se poser, tel un leitmotiv, « Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? », quand on découvre que l'auteur s'est fixé comme limites deux dates : le 30 janvier 1933, qui marque la prise de pouvoir par Hitler, et le 6 février 1937, qui voit la réussite au baccalauréat du garçon en question. Certes, l'école demeure aux yeux de tous la cachette la plus sûre face aux contraintes du système totalitaire. Mais, si l'école nazie prépare pour la guerre, pour la mort, le jeune Heinrich Böll se veut résolument un « élève de la vie ». Et, aux bancs de la classe, il préfère par-dessus tout l'« école de la rue », celle où, les mains dans les poches et le nez au vent, on apprend pour la vie, et non pour la mort. Heinrich Böll est né à Cologne en 1917, dans une famille bourgeoise catholique qui lui inculque la haine du nazisme. Bien qu'il se déclare réfractaire au service militaire, il est, au printemps 1939, convoqué pour une « courte période » qui s'achève en 1945. De retour dans sa ville natale, il s'impose bientôt comme le chef de file des écrivains allemands de la génération d'après-guerre. Plusieurs recueils d'essais, une centaine de nouvelles, une douzaine de romans marquent sa carrière littéraire, ainsi qu'un grand nombre de distinctions, dont le prix Nobel de littérature qui lui est décerné en 1972. Heinrich Böll est mort le 16 juillet 1985. Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? Dans ce récit autobiographique, Heinrich Böll évoque avec humour et sobriété ses quatre dernières années d'école. On comprend mieux la question que son entourage ne cesse de se poser, tel un leitmotiv, « Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? », quand on découvre que l'auteur s'est fixé comme limites deux dates : le 30 janvier 1933, qui marque la prise de pouvoir par Hitler, et le 6 février 1937, qui voit la réussite au baccalauréat du garçon en question. Certes, l'école demeure aux yeux de tous la cachette la plus sûre face aux contraintes du système totalitaire. Mais, si l'école nazie prépare pour la guerre, pour la mort, le jeune Heinrich Böll se veut résolument un « élève de la vie ». Et, aux bancs de la classe, il préfère par-dessus tout l'« école de la rue », celle où, les mains dans les poches et le nez au vent, on apprend pour la vie, et non pour la mort. Heinrich Böll est né à Cologne en 1917, dans une famille bourgeoise catholique qui lui inculque la haine du nazisme. Bien qu'il se déclare réfractaire au service militaire, il est, au printemps 1939, convoqué pour une « courte période » qui s'achève en 1945. De retour dans sa ville natale, il s'impose bientôt comme le chef de file des écrivains allemands de la génération d'après-guerre. Plusieurs recueils d'essais, une centaine de nouvelles, une douzaine de romans marquent sa carrière littéraire, ainsi qu'un grand nombre de distinctions, dont le prix Nobel de littérature qui lui est décerné en 1972. Heinrich Böll est mort le 16 juillet 1985. Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? Dans ce récit autobiographique, Heinrich Böll évoque avec humour et sobriété ses quatre dernières années d'école. On comprend mieux la question que son entourage ne cesse de se poser, tel un leitmotiv, « Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? », quand on découvre que l'auteur s'est fixé comme limites deux dates : le 30 janvier 1933, qui marque la prise de pouvoir par Hitler, et le 6 février 1937, qui voit la réussite au baccalauréat du garçon en question. Certes, l'école demeure aux yeux de tous la cachette la plus sûre face aux contraintes du système totalitaire. Mais, si l'école nazie prépare pour la guerre, pour la mort, le jeune Heinrich Böll se veut résolument un « élève de la vie ». Et, aux bancs de la classe, il préfère par-dessus tout l'« école de la rue », celle où, les mains dans les poches et le nez au vent, on apprend pour la vie, et non pour la mort. Heinrich Böll est né à Cologne en 1917, dans une famille bourgeoise catholique qui lui inculque la haine du nazisme. Bien qu'il se déclare réfractaire au service militaire, il est, au printemps 1939, convoqué pour une « courte période » qui s'achève en 1945. De retour dans sa ville natale, il s'impose bientôt comme le chef de file des écrivains allemands de la génération d'après-guerre. Plusieurs recueils d'essais, une centaine de nouvelles, une douzaine de romans marquent sa carrière littéraire, ainsi qu'un grand nombre de distinctions, dont le prix Nobel de littérature qui lui est décerné en 1972. Heinrich Böll est mort le 16 juillet 1985. Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? Dans ce récit autobiographique, Heinrich Böll évoque avec humour et sobriété ses quatre dernières années d'école. On comprend mieux la question que son entourage ne cesse de se poser, tel un leitmotiv, « Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? », quand on découvre que l'auteur s'est fixé comme limites deux dates : le 30 janvier 1933, qui marque la prise de pouvoir par Hitler, et le 6 février 1937, qui voit la réussite au baccalauréat du garçon en question. Certes, l'école demeure aux yeux de tous la cachette la plus sûre face aux contraintes du système totalitaire. Mais, si l'école nazie prépare pour la guerre, pour la mort, le jeune Heinrich Böll se veut résolument un « élève de la vie ». Et, aux bancs de la classe, il préfère par-dessus tout l'« école de la rue », celle où, les mains dans les poches et le nez au vent, on apprend pour la vie, et non pour la mort. Heinrich Böll est né à Cologne en 1917, dans une famille bourgeoise catholique qui lui inculque la haine du nazisme. Bien qu'il se déclare réfractaire au service militaire, il est, au printemps 1939, convoqué pour une « courte période » qui s'achève en 1945. De retour dans sa ville natale, il s'impose bientôt comme le chef de file des écrivains allemands de la génération d'après-guerre. Plusieurs recueils d'essais, une centaine de nouvelles, une douzaine de romans marquent sa carrière littéraire, ainsi qu'un grand nombre de distinctions, dont le prix Nobel de littérature qui lui est décerné en 1972. Heinrich Böll est mort le 16 juillet 1985. Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? Dans ce récit autobiographique, Heinrich Böll évoque avec humour et sobriété ses quatre dernières années d'école. On comprend mieux la question que son entourage ne cesse de se poser, tel un leitmotiv, « Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? », quand on découvre que l'auteur s'est fixé comme limites deux dates : le 30 janvier 1933, qui marque la prise de pouvoir par Hitler, et le 6 février 1937, qui voit la réussite au baccalauréat du garçon en question. Certes, l'école demeure aux yeux de tous la cachette la plus sûre face aux contraintes du système totalitaire. Mais, si l'école nazie prépare pour la guerre, pour la mort, le jeune Heinrich Böll se veut résolument un « élève de la vie ». Et, aux bancs de la classe, il préfère par-dessus tout l'« école de la rue », celle où, les mains dans les poches et le nez au vent, on apprend pour la vie, et non pour la mort. Heinrich Böll est né à Cologne en 1917, dans une famille bourgeoise catholique qui lui inculque la haine du nazisme. Bien qu'il se déclare réfractaire au service militaire, il est, au printemps 1939, convoqué pour une « courte période » qui s'achève en 1945. De retour dans sa ville natale, il s'impose bientôt comme le chef de file des écrivains allemands de la génération d'après-guerre. Plusieurs recueils d'essais, une centaine de nouvelles, une douzaine de romans marquent sa carrière littéraire, ainsi qu'un grand nombre de distinctions, dont le prix Nobel de littérature qui lui est décerné en 1972. Heinrich Böll est mort le 16 juillet 1985. Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? Dans ce récit autobiographique, Heinrich Böll évoque avec humour et sobriété ses quatre dernières années d'école. On comprend mieux la question que son entourage ne cesse de se poser, tel un leitmotiv, « Mais que va-t-il devenir, ce garçon ? », quand on découvre que l'auteur s'est fixé comme limites deux dates : le 30 janvier 1933, qu...