Prix public : 8,90 €
Paris, au début des années 1970. L'ancien ventre de Paris devient un immense chantier, le visage de la capitale change. Des hommes hostiles à cette défiguration s'insurgent et fondent une association, «Les Insulaires». Parmi eux, un peintre, Kerros, lui aussi attaché à la forme immémoriale de Paris. Mais il connaît bien celui que les protestataires appellent le «prince des modernes», Georges Pompidou. Dans un dialogue fictif entre l'artiste et le président, Philippe Le Guillou revient sur les années pompidoliennes, leurs contradictions et leurs mirages, leurs audaces architecturales et esthétiques. Les années insulaires déroule, entre 1969 et 1974, le roman des années Pompidou, leurs contradictions et leurs mirages, leurs audaces architecturales et esthétiques ; c'est aussi, à travers la confrontation de deux univers, le dialogue imaginaire de deux hommes épris d'art et de beauté.