Prix public : 12,00 €
Ce petit ouvrage est le résultat désopilant d'un appel lancé par un grand magazine à ses lecteurs pour qu'ils racontent leurs expériences en vol les plus cocasses et les plus délirantes. Voici près de deux cents morceaux choisis, qui pourraient bien vous donner envie d'apporter votre propre témoignage, ou vous faire passer l'envie de prendre l'avion... Notre petit avion n'a que deux hôtesses de l'air à son bord : l'une est très aimable, la seconde, d'une humeur chagrine. Il semble y avoir de l'orage dans l'air, quand le pilote nous fait cette annonce : « Le commandant et la moitié de l'équipage vous souhaitent un agréable vol ! » Après l'atterrissage, un des membres du personnel navigant commente : « Mesdames, messieurs, nous venons de percuter Nantes. » Sur ce, le pilote prend la parole : « Oh, ça n'a pas été violent à ce point-là. » Pour écouter la chronique du livre La presse en parle " Que celui qui n'a jamais eu peur dans les airs renonce d'emblée. Pour les autres , ce recueil d'expériences aériennes extrêmes va se dévorer ! " Elle, Mars 2011 " Comique involontaire de pilotes peu doués pour la communication, turbulences du ciel, descentes tout schuss, atterissages difficiles... les journalistes Stephan Orth et Antje Blinda ont sélectionné près de deux cents morceaux choisis pour composer l'ouvrage qui est devenu un best-seller en Allemagne , avant d'être traduit en français ." Le Républicain Lorrain, Mars 2011 "Désolé nous avons raté la piste ! est un recueil d'anecdotes cocasses tirées de voyages en avion. A lire en embarquant ." Be, Mars 2011 " Une vision décalée des voyages en avion qui donne envie de partir et de vivre, nous aussi, une expérience à raconter ." Désirs de voyages, Avril - Juin 2011 " Ce livre qui décolle en librairie, compile 200 mésaventures aériennes de voyageurs allemands. C'est le résultat d'un appel à témoignages lancé par le Spiegl Online .Les récits sont soit cocasses, soit à vous dresser les cheveux sur la tête. Autant de raisons d'être optimiste, cela dit, puisque au fond , tous émanent de gens qui ont survécu à leur voyage ! " Ouest France, Mai 2011