Prix public : 23,00 €
<p style="margin-top: 3pt" class="Mentions"><span style="font-family: Arial, sans-serif">Le mot « métrologie » est connoté, plutôt négativement. À force de la limiter aux instruments, la « métrologie » est devenue synonyme de « gestion d’instruments ». Avec ce livre, Jean-Michel Pou et Laurent Leblond entendent montrer que la<span> </span>métrologie peut renaître, enfin, au <span style="font-variant: small-caps">XXI</span><sup>e</sup> siècle. L’ère du <em>Big Data</em> est une ère de refonte totale des croyances, une remise en cause totale des <em>a priori</em>. La capacité d’acquisition, de stockage et d’analyse de données pour révéler les conditions optimales d’obtention de la qualité requise impose de disposer de données fiables, le plus possible représentatives de la réalité (et un instrument « conforme » n’y suffit pas !). Si, jusqu’à aujourd’hui, nos recettes empiriques ont permis de se contenter de valeurs mesurées de fiabilité inconnue (et le plus souvent médiocre), c’est simplement que les inexorables incertitudes sont prises en compte, souvent implicitement et en tous cas historiquement (on a toujours fait comme ça !) en réduisant les tolérances, en surdimensionnant les exigences pour être sûr ! Ainsi, les choses marchent aujourd’hui car elles surmarchent, donc surcoûtent. </span></p><p style="margin-top: 3pt" class="Mentions"><span style="font-family: Arial, sans-serif"> </span></p><p style="margin-top: 3pt" class="Mentions"><span style="font-family: Arial, sans-serif">L’époque n’est plus à supporter cela, la <em>Smart Factory</em> optimisera, ou ne sera pas… Et la métrologie, elle aussi, devra changer. Elle devra sortir de son histoire séculaire pour se tourner vers un futur qui l’attend et qui l’espère. L’usine devient <em>smart</em>, la métrologie doit aussi le devenir… Ce livre présente donc le concept auquel les auteurs croient pour la métrologie autrement du <span style="font-variant: small-caps">XXI</span><sup>e</sup> siècle : la <em>Smart Metrology</em> !</span></p><p style="margin-top: 3pt" class="Mentions"><span style="font-family: Arial, sans-serif"> </span></p><p style="margin-top: 3pt" class="Mentions"><em><span style="font-family: Arial, sans-serif">Einstein jouait du violon. Mais jouait-il bien ? Les témoignages divergent. Il s’en trouve selon lesquels il n’avait pas le sens du rythme. « Monsieur Einstein, votre temps est très relatif », lui fut-il dit un jour. Ce mot est trop beau pour qu’on se risque à en vérifier l’authenticité. Einstein était un physicien fâché avec la mesure !</span></em></p><p style="margin-top: 3pt" class="Mentions"><span style="font-family: Arial, sans-serif"> </span></p><p style="margin-top: 3pt" class="Mentions"><span style="font-family: Arial, sans-serif">Extrait de la préface de Didier Nordon</span></p><p style="margin-top: 3pt" class="Mentions"><span style="font-family: Arial, sans-serif"> </span></p>