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Par crainte de l'acharnement thérapeutique et de la perte de la dignité de la personne, un parti du "droit de mourir" et de négocier sa propre fin s'est formé dans les sociétés modernes. Peut-on éluder l'existence d'un conflit éthique profond entre le droit de précipiter sa mort et l'interdit du meurtre dans des sociétés qui ont aboli la peine de mort et engagé des campagnes de prévention du suicide au nom du caractère sacré de la vie ? Quelle conduite choisir ? Quels principes gouvernent ces pratiques, quelles nouvelles lois les encadrent ? Quel dialogue peut s'installer ? Quelles pratiques se mettent en place ? Cet ouvrage se propose de répondre à toutes ces questions.