Prix public : 14,95 €
Dans le prolongement de la tétralogie d’Airborne 44, le premier volet d’un nouveau diptyque, mené avec brio sur fond de Seconde Guerre mondiale. Décembre 1944. Alors que dans les Ardennes, l’Allemagne nazie acculée vient de lancer une spectaculaire contre-offensive, tous les avions disponibles sont requis pour aller sur place soutenir les troupes alliées, durement combattues. Y compris les appareils civils de l’Air Transport Auxiliary, une organisation britannique qui a pour particularité d’intégrer des pilotes féminins. C’est l’une de ces opérations de convoyage entre l’Angleterre et la Belgique qu’assure la jeune Tessa, pilote américaine émérite engagée de longue date cette unité de soutien. Mais cette fois, elle joue de malchance. À la suite d’un duel aérien, la jeune femme fait un atterrissage d’urgence en forêt juste derrière les lignes allemandes. Tout près de Bastogne, là où les combats sont les plus durs… Une seule issue pour tenter de la récupérer : parachuter sur place un commando de secours. Une mission que vont prendre en charge Sebastian Leder et Tom De Witt. L’un et l’autre sont considérés comme des éclaireurs d’élite. Mais ils ont aussi pour point commun de bien connaître Tessa depuis leurs jeunes années, là-bas en Amérique… Consacré par les lecteurs et la critique pour les deux diptyques d’Airborne 44 signé chez Casterman depuis 2009, Philippe Jarbinet en amorce un troisième dont voici le premier volume, S’il faut survivre. Moins qu’une véritable suite, il s’agit d’une histoire distincte, qui entretient néanmoins certaines correspondances avec les personnages et les situations rencontrés au fil des précédents albums.