Prix public : 21,80 €
Les Belles Choses que porte le ciel fait partie des 20 meilleurs livres de l'année sélectionnés par le magazine LIRE. _ Les Belles Choses que porte le ciel a reçu le prix du Premier Roman étranger 2007. « Un homme coincé entre deux mondes vit et meurt seul. Cela fait assez longtemps que je vis ainsi, en suspension. » Avec ce premier roman brillant et sensible, Dinaw Mengestu, jeune écrivain américain d'origine éthiopienne, s'impose d'emblée comme un auteur majeur. L'exil, le déracinement sont au coeur de ce roman qui révèle un extraordinaire talent d'écriture et une maturité singulière. Le jeune Sepha a quitté l'Éthiopie dans des circonstances dramatiques. Des années plus tard, dans la banlieue de Washington où il tient une petite épicerie, il tente tant bien que mal de se reconstruire, partageant avec ses deux amis, Africains comme lui, une nostalgie teintée d'amertume qui leur tient lieu d'univers et de repères. Mais l'arrivée dans le quartier d'une jeune femme blanche et de sa petite fille métisse vont bouleverser cet équilibre précaire... « L'une des nouvelles voix de la littérature contemporaine nées de la mondialisation et des mouvements de population, le plus souvent forcés, qu'elle suscite. Bouleversant. » The Los Angeles Times. « Un récit sobre, lancinant, sur la solitude, l'exil mais aussi l'espoir, salué outre-Atlantique par une presse enthousiaste. » Christophe Mercier, Le Figaro. « Un récit sobre, lancinant sur la solitude, l'exil mais aussi l'espoir, salué outre-Atlantique par une presse enthousiaste. » Christophe Mercier, Le Figaro. « Absolument bouleversant. Une écriture d'une grande force... À coup sûr un des événements de la rentrée. » Page. « Un univers poétique d'une saveur unique. Plongez dans ce premier roman qui tient la promesse de son titre : les belles choses y sont légion. » Métro. « Conte africain et travelling à la Jim Jarmush, voilà ce que réussit à merveille cet Américano-éthiopien qui brasse avec maestria politique et sentimental, Shakespeare et Tchekhov. » Fabienne Pascaud, Télérama. « Illusions, désillusions, sentiments de vivre en marge et perpétuel bannissement, voilà ce qui émerge de ce premier roman fantaisiste et mélancolique, tout baigné d'un calme étrange et d'un certain fatalisme. » Raphaëlle Rérolle, Le Monde. « Amer mais jamais larmoyant, inspiré par Naipaul autant que par Saul Bellow, un roman très émouvant où se dessinent les impasses de l'american dream... Un des très belles découvertes de cette rentrée. » André Clavel, Le Temps (Suisse). « Ma-gni-fi-que ! À recommander. » Daniel Pennac. « Un roman remarquable où le rire et la lumière du ciel finissent par chasser le chagrin. Une des révélations de l'année. » L'Express. « Une peinture humaine, sensible et tendrement lucide de la diaspora africaine où l'humour enrobe le tragique. » Valérie Marin La Meslée, Le Point. « Dinaw Mengestu n'a pas trente ans. On lui en donnerait le double tant stupéfient son recul et ses fulgurances. Ce premier roman révèle un vrai talent. À suivre ! » Jeanne de Ménibus, Madame Figaro. « De la grande histoire des peuples massacrés au petit drame des amours contrariées, ce Washington Transfer est bouleversant.... Au-delà de la complainte de l'immigrant moderne, la beauté de ce livre tient dans le tempo du solitaire désabusé, flirtant avec l'impossible qui n'ose pas. » Christophe Donner, Le Monde 2. « Un des romans les plus doux et les plus tristes de la rentrée. Un livre sans rancoeur sur la dérive des continents et des hommes, défaits par des mondes impossibles. » Philippe Chevilley, Les Échos. « Qu'il parle d'exil, de violence ou d'amour, c'est toujours avec justesse. La critique ne s'y est d'ailleurs pas trompée : le livre a recueilli une moisson d'éloges... Une écriture d'une grand maturité. » Olivia Marsaud, Jeune Afrique. « Un beau roman teinté d'amertume et d'humour noir sur le déracinement. » Au