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En Amérique du Nord, au tournant du XXè siècle, la vie en pension était solidement ancrée dans les habitudes citadines. C'était particulièrement le cas dans la ville de Québec où un ménage sur dix accueillait un ou plusieurs pensionnaires. L'importance de ce phénomène est à situer dans l'ensemble des transformations et des recompositions sociales et résidentielles qui affectent une ville en période industrielle. L'auteur restitue les lieux et l'environnement dans lesquels évoluaient les pensionnaires de Québec à la fin du XIXè siècle et au début du XXème siècle.