Prix public : 15,00 €
L'occupation avait contraint beaucoup d'hommes de lettres français à chercher une terre d'exil. Au cours des derniers jours de 1941, Benjamin Péret se réfugie à Mexico, ville où, quelques mois plus tard, il rédigera Dernier malheur dernière chance. Dans ce long poème, qui ne traite pas la matière amérindienne, se ressentent les vives tensions artistiques et idéologiques qui dominaient la scène littéraire parisienne surtout dans les mois précédant le début de la conflagration européenne.