Prix public : 13,50 €
Mais l'enfance / N'est qu'un fumier splendide. L'ultime vers des poèmes de Nicolas Bellisario, daté de septembre 2002, devait clore de manière énigmatique deux années d'intense création poétique et de folie sociale. L'entreprise du Poète d'entraîner la Beauté aux confins de la convulsion des mots et d'incarner ce Verbe des soubresauts de sa plume était alors, selon ses dires, bel et bien achevée. Pourtant, il devait s'emparer dès la fin de cette même année d'une nouvelle forme d'expression littéraire : le haïku.