Prix public : 13,00 €
Résumé : En occupant inévitablement une place centrale dans toutes les sociétés humaines l’éducation n’échappe cependant pas aux crises politiques, socioculturelles, axiologiques, religieuses, etc., que traversent nos sociétés post-modernes multiformes. Malheureusement nous cherchons la solution ailleurs ; et pourtant, la solution est dans l’éducation elle-même. La prise en conscience a donc lieu. Tournons donc le regard vers de nouveaux paradigmes sociopolitiques, et éducationnels, alternant « rigueur et punition ». Car, sur le plan pra-tique, aucune société ne peut construire son « développement durable » si, l’éducation est mal orientée. Par la suite d’ailleurs, sur le plan institutionnel, les choses sont aussi problématiques : la fébrilité, la corruption et la décré¬pitude des institutions ; et, la perversité ou l’opprobre des responsabilités politiques et civiles. L’éducation dans sa réalité positive, pourrait-on dire, est le développement préalable à tout « développement durable ». Il pourrait donc sembler exact de dire qu’elle est le vecteur directeur vers l'humaine-condition. Grâce à une démarche simpliste, cet ouvrage introduit à une analyse philosophique du phénomène éducatif ; et, en aboutit à une remarque sérieuse et chère : Le primat de la discipline sur la pure et simple instruction. De là, la nécessité pour la famille d’assumer, avec netteté, sa lourde part de responsabilité, aussi lourde que jusqu’ici ne fut jamais aucune responsabilité. Et pour réaliser cet idéal, il faut accorder une place fondamentale à la « rigueur » et la « vitalité ». Un tel art se doit susceptible de corriger les pensées et le cœur de l’enfant de bonnes heures, surtout en développant en lui les aptitudes nécessaires à la vie sociale et à son accomplissement humain propre. Auteur(s) : Né le 21 janvier 1992 à Nondara dans le Département de Boundiali (ville à l’extrême Nord de la Côte d’Ivoire), Doradio FOFANA est actuellement étudiant, en licence, au département de philosophie de l’université Alassane Ouattara de Bouaké/Côte d’ivoire. Il envisage faire une thèse de doctorat en philosophie politique et sociale sur John LOCKE, à travers ses idées politiques, en l'occurrence la liberté, la propriété, la tolérance, etc., et instruire la question de la philosophie des droits de l’homme.