Prix public : 31,00 €
Résumé : Rédigée en écriture automatique, en mode de dialogue triangulaire entre l’auteur, la Divinité et le lecteur, ces rôles étant naturellement interchangeables, cette œuvre est un roman apocalyptique au sens du mot grec apokàlypsi = « révélation, découverte ». L’écriture est agrémentée d’astuces graphiques qui en signent l’authenticité. Auteur(s) : Ahav Atar, dont le lecteur découvre le vrai nom en lisant cette œuvre, a vécu, étudié et travaillé à Paris pendant trente ans : trente fructueuses années pendant lesquelles il a savouré la vie à pleines dents, il a grandi, spirituellement parlant, il a mûri en confiance dans la certitude que ce que l’on appelle « le hasard » (mot qu’il affectionne, par ailleurs) n’existe pas. L’intrication de nos existences est bel et bien dynamique, vivante, captivante, sincère et puissante, lorsque nous en décelons la substance. En 2016, le trépas de sa mère le rappelle dans son pays de naissance, que le lecteur découvre dans cette œuvre. Foncièrement bouleversé et renouvelé dans son essence par cet événement, Ahav Atar reste pendant quelques mois auprès de son père, resté veuf. Quelques mois plus tard, son papa s’envole au ciel retrouver maman. C’est à ce moment précis de son existence que l’auteur répond à un appel irrésistible, incontournable, libérateur : écrire son histoire. Le pseudonyme Ahav Atar est né de la rencontre du mot hébraïque ahava (אהבה), signifiant « amour », et du terme avatar qui trouve son origine en Inde (du sanskrit avatāra : descente, avaTṚ : descendre) et signifie « descente, incarnation divine ».