Prix public : 15,00 €
Résumé : L’un des intérêts essentiels avec « Les fleurs de la peau » réside dans la vigoureuse richesse du regard que Daniel Bot pose et propose aux lecteurs. L’auteur se décide à y poursuivre et oser aborder des thèmes sur lesquels il avait, lors des premières éditions, mis plus ou moins de voiles pudiques. Il le fait ici dans un style, un ton où son imagination poétique tend à déborder et à entrer en collision avec certaines velléités et faiblesses humaines. Il les décrit comme des reflets des uns et des autres, tous constitués de chair, d’os et d’émotions fleurissant ici en beauté et limpidité ou parfois là comme des labyrinthes dans lesquels il est bien difficile à tout un chacun d’y trouver son fil d’Ariane. Auteur(s) : Ce 9e ouvrage de Daniel Bot intitulé « Les fleurs de la peau » fait suite à son roman « Le serrurier de Constantine ». L’auteur en revient donc ici avec son « ancienne » configuration par une succession de poésies et de nouvelles. On y lit à livre ouvert son humanisme romantique, citoyen. Avec ses mots, on entre dans le cercle ouvert de ce qui est intime à son âme et conscience. On y trouve autant ce qui l’irrite que ce qui le touche par sa beauté. C’est semble-t-il ce qui le constitue : autant d’ombres que de lumières. Son hétéroclite imaginaire vagabonde d’un texte à l’autre et ses rêveries veulent nous emporter dans son univers poétique. Et à mesure des publications, ce dernier semble comme en expansion…