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Résumé : La colonisation de la Tunisie a été réalisée par la force, mais sous forme de traité entre deux pays souverains, ce qui a permis de maintenir la pérennité de la Monarchie Beylicale tunisienne et de ses institutions. Mohamed Taieb Belkhiria, qui depuis sa naissance en 1888 jusqu’à son décès en 1958, aura vécu dans les méandres de l’histoire coloniale française en Tunisie depuis ses premiers temps jusqu’à sa tragique et tumultueuse fin. Grand commis d’État, ayant permis au pays d’éviter le pire des carnages que le Résident Général J.M. De Hauteclocque s’apprêtait à commettre en 1952. Celui-ci sera d’ailleurs désavoué et écarté de son poste par ses supérieurs. Mohamed Taieb Belkhiria au lieu d’en être félicité n’en sera qu’injustement désavoué, jugé et condamné dès la proclamation de la République. Le cas particulier de M.T. Belkhiria, condamné post mortem dans un procès politique par un tribunal populaire n’était qu’un procès injuste parmi tant d’autres à qui la mémoire collective a omis de rendre justice et qui mérite une nouvelle appréhension. Auteur(s) : Amen’Allah Ben Ahmed Belkhiria PhD staps, petit fils de M.T. Belkhiria est retraité de l’enseignement Supérieur Tunisien. Marié, père de deux enfants, et de deux petits enfants. Ancien directeur du département des Sciences Didactiques et de la Pédagogie Appliquée, Amen’Allah Ben Ahmed Belkhiria a été aussi chargé du suivi de l’élite sportive ciblée tunisienne, lui-même ayant été un ancien joueur et entraineur de Water Polo.