Prix public : 21,00 €
Résumé : L’auteur pénétré de l’âme d’Antonin Artaud le jour de sa naissance va connaître une vie remplie de poésie, de folies, d’amours. Plus ou moins dingues. Plus ou moins drôles. Plus ou moins réalistes. Auteur(s) : Serge Minoc, écrivain breton, est mort le 6 mars 2038 sur l’île d’Ouessant comme il l’indique lui-même dans son ouvrage, « Antonin Artaud et le petit séminariste qui aimait trop les femmes. » Né à Brest, quelque 90 ans plus tôt, le 6 mars 1948, l’auteur a mené une vie extraordinaire, pour ne pas dire de bâtons de chaises. Petit séminariste, révolutionnaire en goguette, embastillé à la Santé, correspondant de presse, écrivain, jardinier, Serge Minoc a marqué son siècle. Les plus grands de ce monde lui ont rendu un hommage appuyé lors de son décès. Fanch 1er, il papa di Roma, a tenu à écrire la préface de ce livre. Le Saint Pontife y porte au pinacle l’homme et son œuvre. Lors de la dernière fête de Pâques, devant la foule rassemblée place Saint-Pierre, Fanch a brandi devant les fidèles l’ouvrage de l’auteur et crié : « Le Christ est parmi nous. » On dit qu’Emmanuel Macron ne peut s’endormir sans avoir lu une page ou deux de l’auteur. Le président aurait susurré à l’oreille de Brigitte : « Cet homme montre qu’on peut travailler bien au-delà de 64 ans. » Les nombreuses aventures amoureuses, les passions déraisonnables de l’écrivain, ont défrayé la chronique locale. Marié quinze fois, divorcé autant de fois, ce n’est qu’à l’âge avancé de 70 ans que l’homme a posé ses valises dans un petit village breton, Ploeuc - L’Hermitage, le royaume de la pomme de terre. En y déposant ses bagages, il a prononcé : « Patate je suis, patate je mourrai au pays de la patate. » Ce dernier vœu ne se réalisa pas puisqu’il décéda brusquement sur l’île d’Ouessant dans la bouche d’une Ouessantine édentée. Serge Minoc était entier.