Prix public : 24,50 €
<p>Sur une île du Pacifique, un couple vit caché. Si tout ne semble que luxe, calme et volupté, V et W sont en état d'hyper- vigilance, prêts à disparaître à la première alerte.<br />À Stockholm, le jeune Gustaf Horn, qui passe l'été à s'ennuyer dans une entreprise de biotechnologie, s'aperçoit presque par hasard que son employeur a été victime de cyber-espionnage.<br />À Madrid, les Indignados envahissent les rues, mais leurs rangs sont infiltrés par les hommes d'une mystérieuse société de sécurité qui teste de nouvelles drogues de synthèse sur les manifestants. La toute-puissante mafia se voit menacée par cet adversaire tentaculaire qui sort de l'ombre.<br />Dans les coulisses de ces tensions internationales et jeux de pouvoir explosifs, l'unité Opcop, meurtrie par de récentes missions, mobilise ses forces pour déjouer le mal. Envoyés aux quatre coins du globe, les membres de cette équipe de choc usent de leurs talents d'agents doubles, d'analystes, d'enquêteurs, pour empêcher l'impensable : l'ultime transgression, la manipulation de l'ADN.<br />Révélant avec brio rouages géopolitiques et crise éthique, Arne Dahl nous expose au vertige d'un monde en perdition.</p> <b>On en parle :</b> <i> Arne Dahl entretient, à la fois, la tension et le débat public. On peut l’avouer l’auteur est très doué pour aborder les grandes questions politiques brûlantes et les dilemmes moraux d’aujourd’hui. Il est doué aussi pour créer un sentiment de crédibilité et de présence […] Le dernier couple qui sort c’est la mafia, les complots, la réhabilitation sociale, l’espionnage chinois le tout dans une tournure kaléidoscopique qui crée finalement une image globale. </i> Sylvie Lecoules, LE TARN LIBRE <i> Le polar suédois ne lâche rien. Sous la plume d'Arne Dahl, journaliste, scénariste et romancier, on peut très sérieusement s'attaquer aux fêtes de Noël avec le dernier opus de sa série Opcop. Sans crainte d'indigestion. […] Arne Dahl construit son polar comme un scénario, visuellement, à tombeau ouvert. Un régal.</i> Karen Lajon, LE JOURNAL DU DIMANCHE