Prix public : 13,50 €
L'accident survenu à sa femme plonge Martin Rodier dans une grave dépression. Après deux ans de traitement, Simonnet, son psychiatre, lui conseille de se confier : « L'écriture peut être une bonne thérapie... » Réchauffé par le soleil de Sète, Martin entreprend sa narration mais « personne ne peut accepter qu'une grande détresse n'ait pour cause qu'un incident fortuit et ridicule... » Son récit, qui devait être une autobiographie salvatrice, se métamorphose en une nouvelle forme de transfert qui stupéfie le psychiatre : « J'ai dissous mon malheur dans le malheur des autres... » Le malheur des autres, tel celui qu'a vécu sa belle-famille, en 1968, avec la catastrophe de la Caravelle Ajaccio-Nice ! Vérité, fabulation, délire ?