Prix public : 10,50 €
Des jours où Cupidon ne s'en fout pas, ce poème, en écho à la chanson de Georges Brassens, a donné un titre à ce recueil, fruit de quatre années d'écriture quasi quotidienne (2012 - 2016). Tous ces poèmes ont été postés sous le pseudo « Dumnac », lus et commentés par d'autres poètes sur Oasis, « le plus beau site de poésie du web », sans lequel cet ouvrage n'aurait certainement jamais vu le jour. Il provient d'une longue méditation sur la vie, la mort, Dieu, l'au-delà, l'actualité... Mais c'est l'amour qui y occupe la plus grande place. Ces poèmes analysent les premiers pas de l'auteur, ses doutes, ses retrouvailles, ses nostalgies et son désir d'éternité. L'un de ses plus chers est « Bréhat », où est évoquée la survie de l'amour dans l'au-delà, mais d'autres peuvent être considérés comme aussi emblématiques : « Y a-t-il un paradis ? » ou « Le même lit », sans oublier « Non, la chair n'est pas triste ». Il s'agit d'une réponse à Stéphane Mallarmé, dans « Brise marine » : « La chair est triste, hélas ! Et j'ai lu tous les livres. »