EAN13

9782335006513

Éditeur

Ligaran

Date de publication

3 février 2014

Collection

LIGARAN

Nombre de pages

128

Dimensions

23,4 x 15,6 x 0,8 cm

Poids

230 g

Langue

fre

Le Cid (Grands Caractères)

Pierre Corneille

Ligaran

Prix public : 14,99 €

Le Cid, chef-d'oeuvre de Pierre Corneille, est un livre captivant qui transporte les lecteurs dans l'univers passionnant de l'Espagne médiévale. Cette édition en grands caractères permet à tous de profiter pleinement de cette histoire épique. L'intrigue se déroule à Séville, où l'amour, l'honneur et la loyauté se mêlent dans un tourbillon de sentiments intenses. Rodrigue, le héros du récit, est un jeune homme courageux et noble, épris de Chimène, une belle jeune femme. Cependant, leur amour est mis à l'épreuve lorsque Rodrigue est confronté à un dilemme moral : doit-il venger l'honneur de son père en tuant le père de Chimène, qui l'a insulté ? Le Cid est une pièce de théâtre qui explore les conflits intérieurs des personnages, leurs dilemmes moraux et leurs choix difficiles. Corneille nous plonge dans un monde où les valeurs chevaleresques sont mises à l'épreuve, où l'amour et l'honneur se confrontent, et où les conséquences de nos actions peuvent être dévastatrices. Avec une plume poétique et une maîtrise du langage, Corneille nous offre une oeuvre intemporelle qui continue de fasciner les lecteurs depuis sa création en 1637. Le Cid est un véritable chef-d'oeuvre du théâtre classique français, et cette édition en grands caractères permet à tous de se plonger dans cette histoire captivante, quel que soit leur niveau de lecture. Que vous soyez un amateur de théâtre, un passionné de littérature classique ou simplement à la recherche d'une histoire riche en émotions, Le Cid de Pierre Corneille est un livre incontournable. Plongez dans l'univers de l'Espagne médiévale, laissez-vous emporter par les tourments des personnages et découvrez pourquoi cette pièce est considérée comme l'un des chefs-d'oeuvre du théâtre français. Impression en « gros caractères ». Extrait : "O rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?"

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