EAN13
9782335009088
Éditeur
Ligaran
Date de publication
20 janvier 2015
Collection
LIGARAN
Nombre de pages
104
Dimensions
23,4 x 15,6 x 0,7 cm
Poids
190 g
Langue
fre

Le Dernier Jour D'Un Condamné

Victor Hugo

Ligaran

Prix public : 14,99 €

"Le Dernier Jour d'un condamné, écrit par Victor Hugo, est un roman poignant qui plonge le lecteur au coeur de l'agonie d'un homme condamné à mort. Publié en 1829, ce livre est un cri de révolte contre la peine capitale et une dénonciation de l'injustice du système judiciaire de l'époque. L'histoire se déroule en France, au XIXe siècle, et est racontée à la première personne par le protagoniste lui-même, un homme dont le nom reste inconnu. Condamné à mort pour un crime qu'il a commis, il nous livre ses pensées, ses angoisses et ses espoirs lors de ses dernières heures avant l'exécution. À travers une écriture intense et poétique, Victor Hugo nous plonge dans l'esprit tourmenté de cet homme qui se remémore les événements de sa vie, les erreurs qu'il a commises et les regrets qui le hantent. Il nous fait ressentir toute la détresse et la solitude de cet individu condamné à une mort certaine, mais qui garde malgré tout une lueur d'espoir. Le Dernier Jour d'un condamné est bien plus qu'un simple récit de la vie d'un homme sur le point de mourir. C'est un plaidoyer vibrant contre la peine de mort, une réflexion profonde sur la valeur de la vie humaine et sur les conséquences de nos actes. Victor Hugo utilise son talent d'écrivain pour nous faire prendre conscience de l'inhumanité de cette pratique et pour nous pousser à remettre en question nos propres convictions. Ce livre, bien que court, est d'une puissance émotionnelle rare. Il nous confronte à notre propre humanité et nous pousse à réfléchir sur la justice et la compassion. Le Dernier Jour d'un condamné est un chef-d'oeuvre de la littérature française qui continue de toucher les lecteurs, plus de deux siècles après sa publication. Extrait : ""Ceux qui jugent et qui condamnent disent la peine de mort nécessaire. D'abord, parce qu'il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. S'il ne s'agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. A quoi bon la mort vous objectez qu'on peut s'échapper d'une prison ? Faites mieux votre ronde, si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ?"""
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