EAN13
9782335010046
Éditeur
Ligaran
Date de publication
14 octobre 2015
Collection
LIGARAN
Nombre de pages
480
Dimensions
23,4 x 15,6 x 2,9 cm
Poids
810 g
Langue
fre

A La Recherche Du Temps Perdu, Tome Iii - Le Côté De Guermantes

Marcel Proust

Ligaran

Prix public : 34,99 €

"Le Côté de Guermantes est le troisième tome de la célèbre oeuvre À la recherche du temps perdu de Marcel Proust. Publié en 1920, ce roman captivant nous plonge au coeur de la haute société parisienne du début du XXe siècle. Le narrateur, dont le nom n'est jamais révélé, continue son exploration des méandres de la mémoire et de la société à travers ses rencontres avec les membres de la famille de Guermantes. Cette famille aristocratique incarne l'élite de la société française, avec ses codes, ses convenances et ses intrigues. Dans ce tome, le narrateur se rapproche de la duchesse de Guermantes, personnage énigmatique et fascinant. Il est également témoin des rivalités et des jeux de pouvoir qui se déroulent au sein de cette famille. Proust nous offre ainsi une plongée profonde dans les relations humaines, les aspirations, les vanités et les illusions de la haute société. Le Côté de Guermantes est un roman d'une grande richesse stylistique, où Proust déploie tout son talent pour décrire les moindres détails de la vie mondaine et des pensées intimes de ses personnages. À travers une prose poétique et introspective, l'auteur nous invite à réfléchir sur la nature de l'amour, de l'art, de la mémoire et du temps qui passe. Ce livre est une véritable oeuvre d'art littéraire, qui nous transporte dans un monde à la fois fascinant et cruel. Proust nous offre une vision profonde et subtile de la société de son époque, tout en nous invitant à nous interroger sur les valeurs et les illusions qui la sous-tendent. Le Côté de Guermantes est un incontournable de la littérature française, qui continue de fasciner les lecteurs par sa profondeur, sa beauté et sa capacité à nous plonger dans les méandres de l'âme humaine. Extrait : ""Le pépiement matinal des oiseaux semblait insipide à Françoise. Chaque parole des « bonnes » la faisait sursauter ; incommodée par tous leurs pas, elle s'interrogeait sur eux ; c'est que nous avions déménagé. Certes les domestiques ne remuaient pas moins, dans le « sixième » de notre ancienne demeure ; mais elle les connaissait ; elle avait fait de leurs allées et venues des choses amicales. Maintenant elle portait au silence même une attention douloureuse."""
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