Prix public : 14,99 €
Andromaque, chef-d'oeuvre de Jean Racine, est un livre qui ne cesse de fasciner les lecteurs depuis sa première représentation en 1667. Cette édition en grands caractères permet à un public plus large de plonger dans l'univers tragique de cette pièce incontournable du théâtre classique français. L'histoire se déroule après la guerre de Troie, où Andromaque, veuve d'Hector, est devenue esclave du roi grec Pyrrhus. Ce dernier est épris d'elle, mais elle refuse ses avances, car elle est dévouée à la mémoire de son défunt mari. Entre amour, devoir et vengeance, les personnages se débattent dans un tourbillon d'émotions intenses. Racine, maître de la tragédie, nous offre ici une oeuvre d'une profondeur psychologique remarquable. Les personnages sont tourmentés par leurs passions, leurs désirs et leurs devoirs, ce qui les pousse à commettre des actes tragiques. La langue poétique de Racine, d'une beauté saisissante, nous transporte dans un monde où les sentiments les plus violents se mêlent à la noblesse des âmes. Andromaque est également une réflexion sur le pouvoir et ses conséquences. Pyrrhus, en proie à ses propres démons, doit faire face à des choix difficiles qui auront des répercussions sur son règne et sur ceux qui l'entourent. Les intrigues politiques se mêlent aux passions amoureuses, créant ainsi une tension dramatique captivante. Cette édition en grands caractères permet aux lecteurs de profiter pleinement de la beauté de la langue de Racine, sans se soucier des contraintes visuelles. Que vous soyez un amateur de théâtre classique ou simplement curieux de découvrir l'une des plus grandes oeuvres de la littérature française, Andromaque est un livre qui ne vous laissera pas indifférent. Plongez dans l'univers tragique de Racine et laissez-vous emporter par cette histoire intemporelle. Impression en « gros caractères ». Extrait : "ANDROMAQUE : Dois-je les oublier, s'il ne s'en souvient plus ? Dois-je oublier Hector privé de funérailles, Et traîné sans honneur autour de nos murailles ? Dois-je oublier son père à mes pieds renversé, Ensanglantant l'autel qu'il tenait embrassé ? Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle."