Prix public : 29,99 €
Albertine disparue (grands caractères) est un chef-d'oeuvre littéraire de Marcel Proust, l'un des plus grands écrivains français du XXe siècle. Ce livre fait partie de la célèbre série À la recherche du temps perdu, une oeuvre monumentale qui explore les méandres de la mémoire, de l'amour et de la société. Dans Albertine disparue, Proust nous plonge dans l'univers complexe et fascinant de son narrateur, qui cherche à comprendre la disparition mystérieuse d'Albertine, sa bien-aimée. À travers une prose riche et poétique, l'auteur nous emmène dans un voyage introspectif où les souvenirs se mêlent à la réalité, où les émotions se confondent avec les pensées. Ce livre, adapté en grands caractères pour faciliter la lecture, offre une expérience immersive unique. Les mots de Proust, empreints de sensibilité et de profondeur, nous transportent dans un monde où le temps s'étire et se déforme, où les sentiments se dévoilent avec une intensité bouleversante. Albertine disparue est un roman qui explore les thèmes de l'amour, de la jalousie, de la perte et de la quête de soi. À travers les yeux du narrateur, nous découvrons les tourments de l'âme humaine, les doutes et les questionnements qui nous habitent tous. Ce livre, dans sa version en grands caractères, offre une lecture accessible à tous. Que vous soyez un fervent admirateur de Proust ou que vous découvriez son univers pour la première fois, Albertine disparue vous transportera dans un monde littéraire d'une beauté saisissante. Plongez-vous dans les pages de ce chef-d'oeuvre intemporel et laissez-vous emporter par la prose envoûtante de Marcel Proust. Albertine disparue (grands caractères) est un livre qui vous marquera à jamais et qui vous fera réfléchir sur les mystères de l'amour et de la condition humaine. Impression en « gros caractères ». Extrait : "Mademoiselle Albertine est partie ! Comme la souffrance va plus loin en psychologie que la psychologie ! Il y a un instant, en train de m'analyser, j'avais cru que cette séparation sans s'être revus était justement ce que je désirais, et comparant la médiocrité des plaisirs que me donnait Albertine à la richesse des désirs qu'elle me privait de réaliser, je m'étais trouvé subtil, j'avais conclu que je ne voulais plus la voir, que je ne l'aimais plus."