1. Littérature générale
  2. Nouvelles

EAN13
9782335017731
Éditeur
Ligaran
Date de publication
2 octobre 2015
Collection
LIGARAN
Nombre de pages
128
Dimensions
23,4 x 15,6 x 0,8 cm
Poids
230 g
Langue
fre

Le Joueur

Denis Diderot

Ligaran

Prix public : 14,99 €

"Le Joueur, écrit par Denis Diderot, est un roman captivant qui plonge le lecteur dans les méandres de l'obsession du jeu. Publié en 1796, ce livre explore les thèmes de la dépendance, de la cupidité et de la moralité.L'histoire se déroule à Paris, où le protagoniste, Jean, est un jeune homme talentueux et ambitieux. Il est attiré par l'excitation et les promesses de richesse que le jeu peut offrir. Cependant, sa passion pour le jeu le conduit rapidement à sa perte.Diderot dépeint avec habileté les conséquences désastreuses de l'addiction au jeu. Jean, autrefois un homme prometteur, se retrouve bientôt endetté et désespéré. Il est prêt à tout pour récupérer ses pertes, même s'il doit trahir ses proches et compromettre sa propre intégrité.Le roman explore également les relations humaines et la façon dont elles sont affectées par le jeu. Jean se retrouve pris dans un cercle vicieux de mensonges et de trahisons, ce qui met en péril ses amitiés et son amour.Le Joueur est un roman profondément moral qui soulève des questions sur la nature humaine et la tentation. Diderot utilise l'histoire de Jean pour critiquer la société de son époque, où l'argent et le jeu étaient souvent considérés comme des valeurs suprêmes.Ce livre est un chef-d'oeuvre de la littérature française du XVIIIe siècle. Diderot y démontre son talent pour la psychologie des personnages et son engagement envers la critique sociale. Le Joueur est un roman qui continue de fasciner les lecteurs par sa pertinence et sa profondeur, et qui nous rappelle les dangers de l'obsession et de la cupidité.Extrait : ""MADAME BEVERLEY : Rassurez-vous, mon amie ; tout n'est pas sans ressource. Déjà même je suis moins sensible au spectacle du désordre qui m'entoure. Mes yeux se font à voir des murailles nues. O chère soeur, chère soeur, si je n'avais à souffrir que la perte de ma fortune, le renvoi de mes gens et la chute de ma maison ; s'il ne s'agissait que de quitter un équipage, et que de renoncer au faste et à son éclat, votre pitié pour moi serait une faiblesse."""
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