Prix public : 14,99 €
Esther, un chef-d'oeuvre intemporel de Jean Racine, est un livre captivant qui transporte les lecteurs dans l'univers fascinant de la cour royale de Perse. Cette édition en grands caractères permet à tous de plonger dans cette histoire épique, quels que soient leur âge ou leur capacité de lecture. L'intrigue se déroule au Ve siècle avant Jésus-Christ, où Esther, une jeune juive, devient reine de Perse. Elle doit faire face à un complot visant à exterminer son peuple, les Juifs. Racine nous offre une vision saisissante de la lutte d'Esther pour sauver son peuple, tout en jonglant avec les intrigues de la cour et les jeux de pouvoir. Ce livre est une véritable ode à la force et à la détermination d'Esther, qui se révèle être une héroïne inoubliable. Racine nous plonge dans les méandres de la psychologie des personnages, nous dévoilant leurs motivations et leurs dilemmes moraux. Les dialogues sont d'une grande finesse, et les monologues d'Esther sont empreints d'une profondeur émotionnelle qui ne manquera pas de toucher les lecteurs. L'écriture de Racine est d'une beauté poétique indéniable. Ses vers, d'une musicalité envoûtante, nous transportent dans un monde où les passions se déchaînent et où les enjeux sont immenses. Les thèmes abordés, tels que la justice, la foi et le pouvoir, résonnent encore aujourd'hui et nous invitent à réfléchir sur notre propre condition humaine. Cette édition en grands caractères rend la lecture d'Esther accessible à tous. Que vous soyez un lecteur passionné de théâtre classique ou simplement curieux de découvrir cette oeuvre majeure de Racine, ce livre saura vous captiver et vous émouvoir. Plongez dans l'univers de la cour royale de Perse et laissez-vous emporter par l'histoire extraordinaire d'Esther. Impression en « gros caractères ». Extrait : "ESTHER : Est-ce toi, chère Elise ? O jour trois fois heureux ! Que béni soit le ciel qui te rend à mes voeux, Toi qui, de Benjamin comme moi descendue, Fus de mes premiers ans la compagne assidue, Et qui d'un même joug souffrant l'oppression, M'aidais à soupirer les malheurs de Sion ! Combien ce temps encore est cher à ma mémoire !"