Prix public : 14,99 €
Les Bonnes Fortunes parisiennes de P.-J. Stahl est un roman captivant qui nous plonge au coeur de la société parisienne du XIXe siècle. L'auteur, maître incontesté du réalisme, nous offre une plongée saisissante dans les intrigues et les passions qui animent la haute société de l'époque. L'histoire se déroule dans le Paris bouillonnant de la Belle Époque, où les apparences sont reines et les secrets bien gardés. Nous suivons le destin de plusieurs personnages, tous issus de milieux différents, mais liés par des liens complexes et souvent inattendus. Au centre de l'intrigue, nous découvrons la fascinante et mystérieuse Juliette, une jeune femme d'une beauté envoûtante, qui cache de sombres secrets. Elle est entourée d'une galerie de personnages hauts en couleur : des aristocrates décadents, des artistes bohèmes, des courtisanes audacieuses et des hommes d'affaires sans scrupules. P.-J. Stahl nous offre une plume élégante et raffinée, qui nous transporte dans les salons mondains, les théâtres et les cafés de la capitale française. À travers des descriptions minutieuses et des dialogues ciselés, l'auteur nous fait vivre les émotions et les tourments de ses personnages, nous plongeant au coeur de leurs vies tumultueuses. Les Bonnes Fortunes parisiennes est un roman captivant qui mêle habilement l'amour, la trahison, l'ambition et les jeux de pouvoir. P.-J. Stahl nous offre un véritable tableau de la société parisienne de l'époque, avec ses codes, ses hypocrisies et ses excès. Ce livre est un véritable bijou de la littérature réaliste, qui nous transporte dans un Paris vibrant et fascinant. Les Bonnes Fortunes parisiennes de P.-J. Stahl est un incontournable pour tous les amateurs de romans historiques et de sagas familiales. Extrait : "Vous avez tous connu Georges Turner, un peintre, plus qu'un peintre, un poète, une de ces natures à la fois chevaleresques et mélancoliques qu'embrase l'amour du beau, qui ont le culte de ce dieu invisible qu'elles appellent l'idéal, et qui cherchent partout, même en ce monde, des preuves de la présence de leur dieu. Je le rencontrai un jour sortant du musée de Dresde."