1. Littérature générale
  2. Romans

EAN13
9782335041231
Éditeur
Ligaran
Date de publication
13 novembre 2015
Collection
LIGARAN
Nombre de pages
216
Dimensions
23,4 x 15,6 x 1,4 cm
Poids
376 g
Langue
fre

Le Roman D'Un Jeune Homme Pauvre (Grands Caractères)

Octave Feuillet

Ligaran

Prix public : 19,99 €

Le roman d'un jeune homme pauvre, écrit par Octave Feuillet, est une oeuvre captivante qui nous plonge dans la vie tumultueuse d'un protagoniste au destin tragique. Dans ce livre, l'auteur nous dépeint avec finesse et réalisme les difficultés auxquelles est confronté ce jeune homme issu d'un milieu modeste. Le récit nous transporte dans un Paris du XIXe siècle, où la pauvreté et les inégalités sociales sont monnaie courante. Notre héros, dont le nom est encore inconnu, lutte quotidiennement pour survivre dans cette société impitoyable. Malgré son intelligence et sa volonté de s'en sortir, il se retrouve constamment confronté à des obstacles insurmontables. Au fil des pages, nous découvrons les différentes étapes de la vie de ce jeune homme, depuis son enfance jusqu'à l'âge adulte. Nous assistons à ses espoirs, ses rêves, mais aussi à ses désillusions et ses échecs. Octave Feuillet nous offre ainsi un portrait poignant d'un individu pris au piège de sa condition sociale. Le roman d'un jeune homme pauvre est un ouvrage qui aborde des thèmes universels tels que l'amour, l'ambition, la lutte des classes et la quête de soi. À travers une plume élégante et fluide, l'auteur nous transporte dans un tourbillon d'émotions et nous pousse à réfléchir sur les injustices de notre société. Ce livre, dans sa version grands caractères, est accessible à tous les lecteurs, offrant une lecture agréable et facilitée. Le roman d'un jeune homme pauvre est une oeuvre incontournable de la littérature française, qui ne manquera pas de toucher le coeur de chacun et de susciter de profondes réflexions sur notre monde. Impression en « gros caractères ». Extrait : "Voici la seconde soirée que je passe dans cette misérable chambre à regarder d'un oeil morne mon foyer vide, écoutant stupidement les murmures et les roulements monotones de la rue, et me sentant, au milieu de cette grande ville, plus seul, plus abandonné et plus voisin du désespoir que le naufragé qui grelotte en plein Océan sur sa planche brisée."
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