Prix public : 19,99 €
"Découvrez les mémoires les plus captivantes et les plus sulfureuses de tous les temps avec ""Aventures d'amour de Casanova"" de Casanova de Seingalt. Plongez dans l'univers fascinant et tumultueux de l'un des plus grands séducteurs de l'histoire. Ce livre, écrit par Casanova lui-même, relate ses aventures amoureuses à travers l'Europe du XVIIIe siècle. De Venise à Paris, en passant par l'Espagne et la Russie, Casanova nous entraîne dans un tourbillon de passions, de rencontres et de trahisons. Au fil des pages, vous découvrirez les multiples facettes de cet homme charismatique et audacieux. Casanova, à la fois libertin et intellectuel, nous livre ses réflexions sur l'amour, la séduction et la condition humaine. Son style d'écriture envoûtant et sa plume incisive vous transporteront dans une époque révolue, où les conventions sociales étaient bousculées par les désirs et les pulsions. Mais ""Aventures d'amour de Casanova"" est bien plus qu'un simple récit de conquêtes. C'est aussi le témoignage d'une époque marquée par les bouleversements politiques et sociaux. Casanova nous fait voyager à travers les salons mondains, les cours royales et les alcôves secrètes, nous dévoilant les dessous d'une société en pleine mutation. Ce livre, véritable chef-d'oeuvre de la littérature érotique, est un incontournable pour tous les amateurs de romans historiques et de récits de séduction. Plongez dans l'univers envoûtant de Casanova et laissez-vous emporter par ses aventures passionnantes et ses réflexions profondes sur l'amour et la liberté.""Aventures d'amour de Casanova"" de Casanova de Seingalt est un livre qui ne vous laissera pas indifférent. Préparez-vous à être séduit, ému et transporté dans un monde où l'amour est roi et où les passions brûlent plus fort que jamais. Extrait : ""Mm"" X. C. Y., Grecque d'origine, était veuve d'un Anglais qui l'avait rendue mère de six enfants, dont quatre filles. A son lit de mort, n'ayant pas la force de résister aux larmes de sa femme, il embrassa le catholicisme ; mais, ses enfants ne pouvant pas hériter d'un capital de quarante mille livres sterling que le défunt laissait en Angleterre, à moins de se déclarer anglicans, la famille revenait de Londres, où la veuve avait rempli toutes les formalités..."""