Prix public : 19,99 €
"La Vénus indienne de Capitaine Devereux est un roman captivant qui nous plonge au coeur de l'Inde coloniale du XIXe siècle. Écrit par un auteur talentueux, ce livre nous transporte dans un monde exotique et mystérieux, où les cultures se rencontrent et les destins se croisent. L'histoire se déroule à Calcutta, où le capitaine Devereux, un officier britannique, est envoyé en mission pour enquêter sur une série de meurtres étranges. Alors qu'il se plonge dans cette enquête complexe, il découvre l'existence d'une statue antique, la Vénus indienne, qui semble être au centre de tous les événements. Au fur et à mesure que l'intrigue se développe, le lecteur est emporté dans un tourbillon d'aventures, de trahisons et de secrets. Devereux se retrouve confronté à des personnages hauts en couleur, tels que des maharajas corrompus, des espions russes et des mystiques indiens, tous liés de près ou de loin à la Vénus indienne. Ce roman est bien plus qu'un simple récit d'enquête. Il explore également des thèmes profonds tels que la colonisation, la quête de pouvoir et la dualité des cultures. L'auteur nous offre une réflexion subtile sur les relations entre l'Orient et l'Occident, tout en nous tenant en haleine avec une intrigue palpitante. La plume de l'auteur est riche et évocatrice, nous transportant dans les rues animées de Calcutta, les palais somptueux et les jungles luxuriantes de l'Inde. Les descriptions sont si vivantes que l'on peut presque sentir les odeurs et entendre les bruits de ce pays lointain. La Vénus indienne de Capitaine Devereux est un livre qui ravira les amateurs de romans d'aventure, d'histoires exotiques et de mystères. C'est un véritable voyage littéraire qui nous emmène dans un monde fascinant et inoubliable. Extrait : ""La guerre en Afghanistan semblait toucher à sa fin, lorsque je reçus l'ordre soudain de partir immédiatement d'Angleterre pour cette contrée, afin d'y rejoindre le premier bataillon du régiment où je servais alors. Je venais d'être promu capitaine, et j'étais marié depuis dix-huit mois, j'étais donc peiné plus qu'on ne le saurait dire de quitter ainsi ma femme et ma petite fille."""