Prix public : 24,99 €
"L'Oeuvre libertine des conteurs russes" est un recueil fascinant qui nous plonge au coeur de la littérature russe du XVIIIe siècle. Sous la plume d'un auteur anonyme, ce livre nous offre une sélection de contes érotiques et libertins, véritables joyaux de la littérature russe. À travers ces récits, nous découvrons un univers sensuel et audacieux, où les tabous sont brisés et les désirs les plus secrets sont explorés. Les personnages, aussi bien masculins que féminins, se livrent sans retenue à leurs passions et à leurs fantasmes les plus débridés. Ce recueil nous transporte dans une Russie d'une époque révolue, où les salons mondains étaient le théâtre de jeux de séduction et de plaisirs charnels. Les auteurs anonymes de ces contes, véritables maîtres de la plume, nous offrent des histoires envoûtantes, où l'amour et la luxure se mêlent avec subtilité. "L'Oeuvre libertine des conteurs russes" est un ouvrage qui ne laisse pas indifférent. Il nous confronte à nos propres désirs et nous pousse à réfléchir sur la nature humaine et ses pulsions les plus intimes. À travers ces pages, nous sommes invités à explorer les méandres de la passion et à nous laisser emporter par la puissance de l'érotisme. Ce livre, édité en grands caractères, permet à tous les lecteurs de profiter pleinement de ces récits envoûtants. Que vous soyez un amateur de littérature russe ou simplement curieux de découvrir un pan méconnu de cette culture, "L'Oeuvre libertine des conteurs russes" saura vous captiver et vous transporter dans un monde où les plaisirs de la chair sont rois. Impression en « gros caractères ». Extrait : "Le printemps était arrivé et fouettait le sang' d'un lièvre qui, bien que peu vaillant, se donnait des airs gaillards. Il alla dans un bois et s'avisa de faire visite à une renarde. Celle-ci, au moment où il s'approchait de son terrier, se trouvait sur le poêle, et ses enfants étaient près de la fenêtre. Apercevant le lièvre, elle leur dit : « Allons, mes enfants, si le louche vient me demander, répondez que je ne suis pas chez moi."