Prix public : 23,00 €
Si rien n’est fait sur le terrain et de manière urgente, il est possible que les êtres vivants continuent de payer la lourde facture climatique qui s’accroit chaque jour. Ce travail de terrain suit les traces de quelques secteurs devenus vulnérables, surtout à cause des impacts négatifs du changement climatique d’origine humaine, avec pour vocation d’inviter les institutions impliquées dans la mise en œuvre des politiques publiques à poser des actions concrètes, à même d’avoir des impacts visibles et réels sur les humains, qui peinent encore à faire face à l’adversité des changements climatiques.Les actions de terrain efficaces et efficientes, capables de bousculer les facteurs anthropiques du changement climatique, constituent aujourd’hui le ventre mou des réactions sociales face aux changements climatiques en contexte camerounais notamment. Il convient de relever que depuis le Sommet de Rio de Janeiro (juin 1992), les pouvoirs publics mettent en œuvre des politiques publiques de lutte contre les impacts du changement climatique qui ne produisent pas encore des effets attendus.Cette recherche démontre que les réponses aux faits climatiques doivent être moins théoriques, si l’humain veut résister aux effets pervers du changement climatique qui impactent négativement sa santé, celle des animaux, la biodiversité, les activités agropastorales et surtout les activités des femmes rurales.