Prix public : 28,00 €
Depuis 1963, les régimes baathistes ont tenté de façonner un cinéma à leur image. Ce projet a néanmoins été contesté par des cinéastes qui ont investi cet art en contournant les contraintes fluctuantes imposées par un système de production supervisé par l'Etat. Paradoxalement, dès les années 70, le cinéma financé par le secteur public devient un espace d'expression critique. Cet ouvrage propose une incursion au coeur des films pour saisir ce qu'ils nous disent de l'ordre politique en Syrie jusque dans les années 2000.