Prix public : 17,50 €
Le nazisme et ses horreurs sont-ils la vraie raison de la présence persistante, dans la mémoire collective française, de la germanophobie, ce sentiment de rejet anti-germanique ? Quelles sont les raisons profondes de la renaissance, ces dernières années et en dépit du processus de construction européenne, d'un ressentiment anti-allemand, partagé par des secteurs de plus en plus larges de la société française ? Pourquoi une partie de la gauche radicale est-elle devenue germanophobe ? C'est à ce questionnement que ce livre, écrit par un philosophe franco-allemand, tente de trouver une réponse.