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Kabylie, le 27 avril 2001. Avant de succomber aux balles qui l'ont déchiqueté, Kamel Irchene, un manifestant kabyle, eut le temps de signer de son sang, sur un mur, le mot "Liberté". Au Printemps noir, la Kabylie a subi une répression sauvage qui a fait pas moins de 130 morts. Elle réalise, désemparée, qu'elle n'a jamais été considérée comme étant algérienne. C'est ainsi que le droit à l'autodétermination, autrement dit à l'indépendance, est devenu, de nos jours, l'aspiration la plus partagée par le peuple kabyle.