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Le 8 juin 2018, la démission du Conseil consultatif de l'Union africaine sur la corruption du Ghanéen Daniel Batidam pointe du doigt un phénomène qui semble ne pas reculer même au sein des instances chargées de le combattre. Malgré le discours politique engagé, les divers textes adoptés et les énormes ressources mobilisées, la corruption continue d'exister dans les États africains. Cet ouvrage présente les institutions anti-corruption mises en place au Niger, puis met l'accent sur les obstacles essentiellement politiques qui freinent leur pleine efficacité. Les avancées véritables dans la lutte contre la pandémie seront proportionnelles à l'amélioration de la gouvernance.