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La biodiversité si riche des Outre-mer, en attisant les convoitises, a donné naissance à la biopiraterie, qui consiste en une appropriation non équitable de ces richesses, tant animales que végétales, tant terrestres que marines. Le droit, d'abord international, puis local et national, cherche les solutions d'une protection suffisante en évitant l'excès de la sanctuarisation de la nature, et d'un partage équitable des avantages résultant d'une valorisation de ces ressources biologiques, pour une biodiversité réellement partagée.