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Malgré les dispositions juridiques qui légitiment et normalisent l'expropriation au Cameroun, les procédures y relatives sont sources potentielles de conflits protéiformes entre « les spoliés » et les pouvoirs publics. La question fondamentale de cet ouvrage est : les difficultés qu'éprouvent le plus souvent les autochtones en situation d'expropriation sont-elles de manière conjecturale corrélées à la régulation sociale ? À travers une problématique transversale, il aboutit à la conclusion selon laquelle toute transaction entre l'État et les expropriés doit être guidée par une démarche holistique.