Prix public : 30,00 €
Des semences de vie cosmiques sont-elles venues fertiliser notre planète bleue ? Sommes-nous les seuls habitants dans l’infini de l’univers ? L’imagination, la logique, la science, au travers des plus grands philosophes tant de l’Antiquité que de notre temps présent, n’ont cessé de se poser ces questions qui donnent toujours lieu à de nombreuses réflexions aussi bien sur le plan scientifique que philosophique. Sur la base de la documentation historique, les plus grands savants de l’Antiquité que sont Imhotep, Méryt-Ptah, Hemiounou, Pasashatou, Metjen, Kagemni, Ptahhotep, Iri-Itoussen, Khéty, Mérikarê, Ipou-Our, Neferhotep, Ani, Ihâmessou, Amenemhat, Amenhotep, Amennakhte ou encore Ounefer sont les premiers à s’être interrogés sur la question des origines !Pluralité des mondes et panspermie, il n’y a que depuis relativement peu de temps que chercheurs et penseurs ont relié ces deux notions fondamentales. Les liens entre ces deux notions conduisent à l’idée que la vie sur terre, comme sur d’autres planètes, ne serait pas d’origine endogène, mais bien d’origine cosmique . C’est sur ces liens que cette thèse se propose de réfléchir avec une perspective philosophique ainsi que l’intérêt de cette approche quant à la place de l’être humain dans l’univers. Précisons que, dans cette thèse, nous ne discutons pas les arguments scientifiques en faveur ou défaveur de la panspermie. Panspermie et pluralité des mondes : ce travail montrera l’articulation de ces deux concepts avant la naissance de l’Exobiologie moderne de la seconde moitié du XXème siècle. Nous nous concentrerons sur leurs origines historiques, leurs liens philosophiques et l’évolution de ces concepts dans les pensées philosophique et scientifique au cours de l’Histoire.