Prix public : 11,00 €
Je chante les combats, et ce prélat terribleQui, par ses longs travaux et sa force invincible, Dans une illustre église exerçant son grand cœur, Fit placer à la fin un lutrin dans le chœur.C’est en vain que le chantre, abusant d’un faux titre, Deux fois l’en fit ôter par les mains du chapitre :Ce prélat, sur le banc de son rival altier Deux fois le reportant, l’en couvrit tout entier.Muse, redis-moi donc quelle ardeur de vengeanceDe ces hommes sacrés rompit l’intelligence,Et troubla si longtemps deux célèbres rivaux.Tant de fiel entre-t-il dans l’âme des dévots !