Prix public : 19,00 €
Le 1600e anniversaire (418/419) de l'installation des wisigoths dans le Sud-Ouest par l'empereur Honorius pour près d'un siècle, avec Toulouse pour résidence royale, coïncide avec la publication de ces actes. Cette synthèse scientifique, la première du genre depuis plus de trente ans permet d'examiner les progrès de la recherche en particulier dans le domaine de l'archéologie funéraire préventive (sites archéologiques inédits) sur cette période historique, entre Antiquité et Moyen Âge. Cinq thèmes constituent ce volume : Les Goths de part et d'autre des Pyrénées : les sources écrites, Pouvoir et mémoire dans la ville, Archéologie funéraire et mobilier germanique oriental de l'Aquitaine et de l'Espagne entre V et VIe siècles, Territoires, contacts et culture matérielle, et, enfin, Actualités archéologiques : la Gaule mérovingienne. Le 1600e anniversaire (418/419) de l'installation des wisigoths dans le Sud-Ouest par l'empereur Honorius pour près d'un siècle, avec Toulouse pour résidence royale, coïncide avec la publication de ces actes. Cette synthèse scientifique, la première du genre depuis plus de trente ans permet d'examiner les progrès de la recherche en particulier dans le domaine de l'archéologie funéraire préventive (sites archéologiques inédits) sur cette période historique, entre Antiquité et Moyen Âge. Cinq thèmes constituent ce volume : Les Goths de part et d'autre des Pyrénées : les sources écrites, Pouvoir et mémoire dans la ville, Archéologie funéraire et mobilier germanique oriental de l'Aquitaine et de l'Espagne entre V et VIe siècles, Territoires, contacts et culture matérielle, et, enfin, Actualités archéologiques : la Gaule mérovingienne. L'image d'un Catilina ¿subversif¿, telle que la soutient Cicéron, n'est devenue canonique qu'après Salluste. Au début, une autre image lui fut opposée : minoritaire sans doute, mais bien attestée, et reprise avec vigueur par Marc Antoine, dans ses attaques contre Cicéron à l'automne 44. Cette polémique accusait Cicéron d'avoir amené Catilina à prendre les armes contre Rome et d'avoir abusé de son pouvoir. Vingt ans après les événements, l'histoire du consulat de Cicéron n'était donc pas écrite sous sa forme définitive et pouvait encore faire l'objet de violentes controverses. En effet, Catilina n'avait jamais été un grand réformateur popularis : ses efforts visaient tout simplement à couronner sa carrière politique par l'obtention du consulat. Il n'avait jamais été non plus un révolutionnaire, un ¿putschiste¿ : il resta toujours un vaincu