Prix public : 14,90 €
Dans «Petit vade-mecum de l’amour en temps de guerre», après «Le beau monde», Gérard Lambert nous parle encore du monde, d’un monde réel et violent, avec radio, média, malheurs, guerres, sans compter celles que l’on se livre, à soi, aux autres aussi, à la vie et à la mort surtout. Il utilise la nouvelle, genre littéraire qui lui permet de naviguer sur tous les océans. Et c’est précisément sur son navire que Gérard Lambert veut nous embarquer comme sur son arche, car c’est là qu’il garde l’espoir, niche la joie, abrite la paix, là qu’il fait subsister l’amitié, l’amour…la joie. Là qu’il transforme sa plume en ruban qui enveloppe, empaquette afin de faire durer, dans la foi et la confiance, l’ouverture de ce paquet cadeau pour y découvrir enfin, le monde finalement jamais meilleur, mais qu’il aime et veut nous le faire aimer malgré tous ses «malgré». «Longue est notre préhistoire», dira-t-il, comme pour tempérer et trop proche notre «désanimalisation». Avec Gérard Lambert, capitaine qui fracasse, on tombe toujours sur un trésor, son nouveau roman puis sur un autre, la vie.