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Toutes les vies - enfin presque - méritent d’être racontées. Celle de ma mère, que je préfère appeler Maman, certainement. En écrivant ces souvenirs, je veux seulement témoigner et remercier. Sous la forme de textes courts, c’est ma spécialité. En vingt chapitres. 20 : pour la première fois je peux atteindre ce nombre, cher aux bons élèves. L’idée m’a été soufflée par un professeur de communication en août 2014. De tous les courts portraits dressés dans mon dernier ouvrage, elle m’affirmait que c’était celui de ma mère qu’elle préférait. Elle se souvenait de son enfance sans mère, de sa vie sans mari, de son obligation de travailler tout en élevant cinq enfants et, malgré tout cela, de son dynamisme et de son optimisme. Dans Vie de com’, avec un « aime », il y avait pourtant les noms de personnages célèbres que j’avais eu la chance de rencontrer dans ma vie professionnelle. Début 2016 j’ai 73 ans. L’âge de la mort de mon grand-père paternel qui me paraissait bien vieux. Mais je me sens encore enfant lorsque j’évoque Maman, racontant son histoire sous forme d’histoires. Surtout pas de nostalgie et de « C’était mieux avant » ! Ma vie d’époux, de père, beau-père et grand-père de 13 petits-enfants me comble abondamment. Heureux 20 fois ! De plus nous avons une famille élargie affectueuse, des amis solides, des voisins sympathiques et de nombreux contacts dus à des activités encore nombreuses. Et, nous éloignant parfois de ce confort de vie, nous faisons des voyages en France, le plus beau pays du monde. Seulement un témoignage de reconnaissance. Car Maman nous a appris à respecter et à entreprendre. Toujours avec passion et optimisme. - Jean Amyot d’Inville, Mars 2016