Prix public : 25,00 €
Ce Boogie du Cambalache suivi de Message d’insécurité poétique et autres chapitres nous vient du blues et de la brocante. Là, tout y est recyclé pour d’authentiques créations poétiques. Seream le sait bien puisqu’il se définit ou se montre comme un déviant textuel (obsédé textuel depuis vingt ans). Le poète Seream, je le connais et je le lis depuis plus de quinze années, depuis ce Pipeline que j’avais édité. Homme poète indien de la terre et du ciel, voilà comment je perçois Sébastien Gaillard, alias Seream. Il aime les mots et les mots s’entendent bien avec lui. Ce sont ses sentinelles actives. Sa poésie suggère des baisers lyriques. Ceux qui cherchent à faire du corps même du poème un lieu de liberté essentiel pour le poète. Cet ouvrage de Sébastien, je l’apprécie comme on peut savourer une boisson fraîche après l’avoir attendue trop longtemps.Extrait de la préface de Luc Vidal