Prix public : 8,50 €
Jirí Kylián raconte, simplement, ce qui le fait vivre : la danse, qui forme un tout avec la vie. Samuel Beckett, il y a longtemps, répondit à la question " Pourquoi écrivez-vous ? " par un sobre " Bon qu'à ça ". C'est ce que Jirí Kylián estime être, bon qu'à ça. Lui qui devint chorégraphe parce qu'il avait compris qu'il ne serait jamais aussi bon danseur que Rudolf Noureev et que le corps des autres exprimerait mieux que le sien ce qu'il avait besoin de dire. Dans Bon qu'à ça, il raconte, simplement, ce qui le fait vivre : la danse, qui forme un tout avec la vie. Il décrit son univers hanté par le temps et la disparition. Il évoque ses sources d'inspiration - parmi lesquelles sa compagne et les aborigènes. Il explique comment l'image prend de plus en plus de place dans son oeuvre - serait-elle une chance de ne pas mourir ? Récit d'un itinéraire marqué par la transcendance du corps et par le mouvement.