Prix public : 19,90 €
À l’heure de la course aux étoiles que se livrent les différents pays pour aller sur Mars, ce livre, écrit en 1923, est l’un des grands classiques de la littérature russe de l’entre-deux guerres et le premier chef-d’oeuvre de la science-fiction soviétique. Il ravira les amateurs du genre ! Dans la rue des Aubes-Rouges, pas loin des rives de la Néva, on peut y lire une étrange annonce : « L’ingénieur Loss invite les personnes désireuses de partir avec lui pour la planète Mars. » Les plus curieux s’arrêtent, mais quelques années après la Première Guerre mondiale, personne, à Léningrad, ne peut sérieusement croire que quelqu’un s’apprête à réaliser un voyage interplanétaire. Personne, si ce n’est le mécanicien Goussev au passé trouble. Les deux compagnons atteignent la planète rouge. L’air est respirable, le ciel au dessus de leurs têtes cascade d’une lumière bleue et, sous leurs pieds, la terre est brune et sèche. Ils y découvrent une civilisation millénaire, fondée par les rescapés de l’Atlantide. Loss et Goussev veulent l’étudier et s’approchent de la belle Aélita, fille d’un chef martien, dont Loss tombe amoureux. Mais Goussev veut organiser une révolution et les deux terriens troublent l’harmonie de la vie sur Mars. Une réflexion sur le bonheur et les différences à travers une histoire où l’amour survit à tout, même aux séparations qu’imposent la grandeur vertigineuse de l’espace.