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Les religions ont fort mauvaise presse, et souvent à raison! Et pourtant, dans les années 1960-1970, des théologiens, principalement chrétiens, ont été les porte-parole d’un discours extrêmement audacieux : devoir d’une attention prioritaire aux pauvres, nouvelle répartition de la propriété agraire dans des pays où régnait encore un féodalisme agraire, exigence de justice sociale…<br />Ce sont des sociologues de divers pays que Luis Martínez Andrade a réunis pour évaluer l’héritage de ces théologiens d’avant-garde.<br />Il n’est plus question de se limiter aujourd’hui au seul christianisme et il est plus que nécessaire dans la situation politique actuelle de montrer combien les religions sont parfois porteuses d’un discours de libération.