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Le commissaire parisien Lluis Oliba passe des vacances bien méritées dans le petit village languedocien de ses grands-parents. Son programme ? Retaper le mas familial et jouer de la clarinette. Mais son repos est de courte durée. À peine le policier a-t-il posé ses bagages, que son voisin, Andrew Smiley, docteur en génie biologique, est retrouvé assassiné. Bien que l'affaire soit confiée à un policier du cru, le très jeune mais très perspicace Alex Canno, Oliba y est impliqué, dès l'instant où Joël Massol, musicien de renom, le contacte pour lui révéler qu'il connaissait le défunt. Quel lien peut bien unir un spécialiste des maladies de la tomate à un chercheur en électroacoustique ? Et pour quelles raisons des adeptes du culte d'Orphée joueraient-ils un rôle clé dans cette histoire ? Pour le découvrir, Oliba et son lieutenant, Valentine Kepler, fan de country et de cuisine, vont secrètement mener leur propre enquête, tout en composant avec l'arrivée imprévue de Nino, le fils adolescent du commissaire, qu'il ne voit jamais mais qui a décidé, pile à ce moment-là, de renouer le contact. Si la musique adoucit les meurtres, elle ne les rend pas moins crapuleux. C'est ce que nous prouve Carol Fonolières avec Petite musique de nuit, une intrigue musicale sur fond de trafic d'OGM et de mythologie thrace.