Prix public : 37,00 €
Choisir d'associer les termes « divertissement » et « droit » peut prêter à sourire. Le divertissement renvoie à la légèreté, le droit brille par son sérieux. Le divertissement tend à l'évasion, par le plaisir qu'il procure ; le droit vise l'ordre, au moyen d'un ensemble de règles. L'un serait réfractaire à toute logique ; l'autre serait dépourvu de fantaisie. Divertissement et droit ne sont pourtant pas condamnés à s'ignorer : le premier n'échappe pas à l'emprise du second, tandis que le droit peut être pratiqué pour se divertir. C'est cette influence réciproque que l'ouvrage interroge, de façon transversale, notamment à travers l'environnement, l'urbanisme, l'animal, le numérique, le travail, les majeurs vulnérables, les finances publiques, mais aussi la philosophie, la sociologie du droit et la jurisprudence amusante. Cet ouvrage est susceptible de poser les jalons d'une réflexion plus large sur le droit du divertissement en tant que branche du droit.