Prix public : 10,00 €
L’hiver 2008, Jean-Pierre Otte avait recueilli chez lui un jeune Russe de 26 ans, originaire de Yalta en Crimée, du nom de Sergueï. Celui-ci se prit d’amitié pour les premiers livres de l’écrivain. Il les lisait, les relisait apparemment sans se lasser, presque au risque de l’addiction, en épinglant çà et là des phrases et des passages qu’il transcrivait dans un cahier auquel il attribua le titre de La bonne vie.