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Cet ouvrage fait l'éloge de la femme martiniquaise. Il s'inscrit dans une particularité que l'on retrouve dans certaines sociétés ; précisément celles qui ont été concernées par, et qui ont subi l'esclavage : c'est le régime matrifocal. Il est en effet courant que la femme antillaise se retrouve seule, en charge de la famille : de son éducation, de son entretien, de son alimentation, etc. La femme martiniquaise est par conséquent très tôt, consciente de ses responsabilités ; endossant malgré elle toute " la charge familiale ", elle vient en cela à jouer un rôle essentiel voire central, dans cette société. D'où ses surnoms de " poteau-mitan ", de " femm' douboutt ", de " mâle-femme " ou de " maîtresse-femme "...